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Chacun sait que le massage a de nombreuses vertus.
 

Outre la sérénité et la plénitude qui en découle, le massage est un moment privilégié pour être à l’écoute de son corps et ses énergies.
Quels que soit vos besoins, nous serons à votre écoute pour vous proposer le massage qui vous conviendra le mieux.

 

Le Bien-Être est-il une affaire d’épanouissement personnel, d’utilité publique, une affaire de santé ? Ou bien est-ce un art, l’art du savoir-être ?
Nous savons que si le Bien-Être est à portée de mains, le massage du même nom ne se présente alors plus seulement comme une technique mais aussi et surtout comme un support, une voie vers un état intérieur apaisé et harmonieux, considéré par bon nombre de philosophes, comme une étape incontournable au bonheur…

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L’enjeu du massage-bien-être dans notre société est conforté par la nouvelle attention apportée à ce territoire énergétique, à ce capital de vie qu’est notre corps. Le précieux « nourrissement » que propose chaque massage-bien-être réunifie le corps et âme. Ils sont tout autant un appel qu’un rappel à vivre qui s’écoulent en chaque corps. Le massage-bien-être garde évolutif ce processus. Il est une nourriture bienfaisante, une expérience vitale qui permet de restaurer ses forces, pour se réengager sans cesse dans ce mouvement fondamental de vie.

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Le massage-bien-être est un support pour que s’exprime la fluidité de la vie.

C'est Quoi le massage Bien-Être ?

Pour bien des philosophes, le bien-être est l’ultime but poursuivi par l’homme.
Sénèque évoque régulièrement le principe fondamental d’unité et le rôle de l’âme dans ce processus.
Les stoïciens affirment l’unité comme socle sur lequel l’homme peut parvenir à ce bien-être souverain. « L’état d’une âme sans trouble »
Cette idée, du bien et de l’être convergents, anime bien des propos d’Aristote. Dans la pensée médiévale, le bien et l’être ne diffèrent pas à ceci près que Dieu créateur, est à la fois Être Suprême et Bien Suprême. Les créatures humaines lui sont semblables d’une certaine manière. L’accomplissement de l’homme passe ainsi par un vécu d’équilibre relevant d’une sagesse profonde.

 

Émerge ainsi de cette conception biblique une dynamique relationnelle qui relie bien et être. Cette notion impose une dimension transcendantale s’appliquant à tous les êtres… C’est ainsi que Saint Thomas écrivit : «L’homme dispose autant de bien qu’il possède d’être». C’est la vision de perfection ultime, ce à quoi tendent tous les êtres.


Kant privilégie la notion d’accord entre bien et être et affirme que « notre devoir est de travailler à sa réalisation ».
Pour Épictète, « le bien-être ne peut s’atteindre qu’à condition d’en finir avec ce qui, à l’intérieur de nous, travaille à l’encontre de ce qui arrive ». L’acquiescement à ce qui existe est partagé aussi bien chez Spinoza que chez Nietzche sous le terme de amor fati, l’amour de ce qui est. Accepter de renoncer au bien-être absolu pour accueillir les bien-être discontinus et relatifs de notre vie…
Pour Confucius, le bien-être apparaît comme quelque chose qui s’éloigne lorsqu’on tente de le saisir et de le quantifier, et qui se rapproche lorsqu’il n’est plus un objet de recherche.

 

Et les philosophes, Ils en pensent quoi ?

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